phillipe-auguste

La planète Brumène est l'une des rares planètes gazeuses habitées, elle abrite en son sein, la maison Glanon. Riche maison se trouvant sur une route qu’empruntaient les marchands, elle est aujourd'hui au bord de la ruine. Le marquis glanique avait réussi à négocier avec le Duc peut de temps avant le début des opérations sur Arrakis, 25% des recettes des récoltes de l'épice en échange de la construction de plusieurs bases militaires khandjars sur les planètes du marquisat, qui n'est pas loin du système inkvines et le duc pourrait ainsi influencer un peu mieux Glanon.

Quelque semaines avant le début des conflits sur Arrakis.


-Je suis vraiment obligé d’aller sur cette planète pleine de sables est de caillasses ?
-C’est bien toi, chère fils qui avait juré de donner ta vie pour l’Ispahan non ?
-Donner ma vie certes, mais je n’ai pas juré de suivre l’Ispahan partout que je sache …
- Rien à faire de cela, ne vous y irez point final.
-Mais ....
-Y a pas de mais qui tienne !

Quelques heures plus tard, chez son oncle.

-Ah cher neveu, je peux bien comprendre que le grand maître ne demande pas l’avis a ces gens, quand l’ordre va sur une planète, elle y va et sans que personne ne réponde absent à l’appelle.
-C’est bien exagéré, en plus, je vois pas l’intérêt de ce caillou recouvert de sable ….
-Vous avez bien le caractère de votre mère (paix à son âme) je me demande qu’elle aurait était ça réaction.
-M’en parlez pas.
-Oh j’ai oublié un détail.
-Le quel ?

L’oncle s’avança vers un buffet, ouvrit un compartiment secret et sorti ce qui semble être un sabre.

-C’est quoi ?
-Le sabre de votre mère. Tout en cristal soufflé et sculpté à l’ancienne, une combinaison de matériaux de blindage de chars l’a rendu presque indestructible. Elle l’a eu de son père qui lui même le tien de ces ancêtres. Un bijou de famille.
-Et ?
-Avant de mourir, elle m’a demandé de garder ce sable pour vous, quand vous serez en age de combattre.
-Oh, euh. Ben …..
-J’ai eu la même réaction que vous quand elle m’a dit ça. J’espère que tu en feras bon usage, cher neveu.


Encore quelque heures plus tard, à l’astroport ...

-Vous avez préparé votre testament cher frère. (Xar esquissa un sourire mesquin)
-Encore une remarque du genre, vous m’accompagnez.
-Peut pas, obligation politique.
-Fait gaffe, c’est pas ça qui t'avais suavé la derniere fois avec les inkvines.
-Vous savez au moins ou ça se trouve ?
-Pas bien compliqué, si je croise les débris de vaisseaus inkvines ou kandhjars, c’est que je dois être dans la bonne direction.
-Ah ben faites gaffe quand même. C’est pas pour rien que je te prête mon vaisseau personnel beau et neuf. Et quand tu reviendra il devra être ?
-en un morceau ?
-Non ! Beau et neuf !
-Beau dialogue constructif, bon je file avant que le grand maître s’énerve.
-Pas comme la dernière fois ou ta improvisé à la fin de l’office ?
-C’est pas ma faute si les jeux d’anches et le clavier de bombarde était mal accordé. Mais le public avait apprécier. Ca doit être ça qui m’a sauvé. Bon sur ce ....


Le vaisseau s'eleva puis fonca vers l'espace en direction d'arrakis.

Apres quelques semaines de combat et une permission.....
Dans un vaisseau khandjar.

-Xar. C'est gentil de me raccompagner au front.
-Le grand maître m'a autorisé à prendre part au conflit au sein de ton ordre. Je n’allais pas manquer une telle occasion
-Euh, va pas me dire que ....
-T'aurais pas voulue que je vienne, même si je suis ton grand frère.


Grand frère de P-A. Xar est passer maître dans l'ingénierie militaire et également dans l'art de la guerre.

-Et sinon c'est quoi ce drôle de truc ?
-Ca ?
-Oui ça.
-Le marteau est une arme de corps à corps, L'onde de plasma qu'il génère, provoque des dégâts assez grave et à forte puissance, peut déchiqueter un homme. A pleine puissance, il peut catapulter une personne quand celui-ci n'est pas mort sur le coup (l'expérience avait était faite, mais on ne sais pas ou est retomber le cobaye, d'ailleurs on pense qu'il n'est jamais retomber).

-Jolie jouet.
-C'est moi qui la conçue.
-On arrive bientôt accroche toi la descente est assez longue.

Citation :

HRP :Ce moment se passe peu de temps avant que P-A ne parte du Krak pour le mariage de Janus et Ghani.

PA : Untermayer, vous n'avez pas oublier mes partitions ?

Untermayer : Biensur que non, elles sont dans ma trousse de premiers soins.

PA : Quel idée de les mettres la ? Vous allez les abimez, je vais les prendres, ramenez les moi.

Untermayer : Bien monsieur.

Je faisais mes derniers répétitions pour le mariage, 2 heures de trajet, et je part dans un quart d'heure, si ce n'est que quelque minutes. Je profite des quelque instant de solitude pour faire une dernière improvisation, afin de me perfectionner pour la cérémonie, ça n'a jamais fait de mal à personne. Un peu gravissimo mais ça à toujours son petit effet, et comme toujours ça de-stresse.




hrp :J-S Bach, "Christ lag in Todesbanden" de l'orgelbuchlein